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Diapositiva 1 - IHMC Public Cmaps (3)

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Diapositiva 1 - IHMC Public Cmaps (3)
APPRENDIMENTI DI BASE
GRUPPO LESSICO 2
TUTOR : Donatella Arzedi
Laura Giugnini
Sottogruppo 1 : Bianca Del Regno, Attilia Lavagno,
Chiara Mussini, Andreina Petrucci,Caterina Polidoro
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
1
STORIA DELLA LINGUA
 DESTINATARI:insegnanti dei due ordini in un
momento di confronto monolingue
 OBIETTIVI :
- Sottolineare (per ciascuna Lingua) i nodi storici che
hanno prodotto prestiti da altre lingue, in primo
luogo dal Latino
- contestualizzare le attività sui prestiti
- approfondire il legame lingua/cultura
 METODO : - ricerca in Internet
- condivisione esiti con presentazione ppt
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
2
METODO: steps
 Gli insegnanti si dividono in
sottogruppi MONOLINGUE
 Gli Insegnanti di Italiano e Latino
formano un unico gruppo
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
3
I CONTRIBUTI MONODISCIPLINARI
 LINGUA INGLESE
 LINGUA FRANCESE
 LINGUA TEDESCA
 LINGUA ITALIANA
 LINGUA LATINA
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
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GRUPPO MONODISCIPLINARE
LINGUA INGLESE
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
5
THE EVOLUTION OF THE ENGLISH
LANGUAGE
 AD 450 Old English (OE) period
 arrival of West Germanic settlers
(Angles, Saxons and Jutes) in
southern Britain: they brought with
them dialects (which would produce
modern German, Dutch and Frisian).
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A GERMANIC BASIS FOR ENGLISH
 This Germanic basis for English can be seen
in much of our everyday vocabulary –
compare heart (OE heorte), come (OE
cuman) and old (OE eald) with German
Herz, kommen and alt.
 Many grammatical features also date
back to this time: irregular verbs such as
drink ~ drank ~ drunk (OE drincan ~
dranc ~ (ge)druncen) parallel German
trinken ~ trank ~ getrunken.
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TRADING WITH THE ROMAN
EMPIRE
 The GERMANIC TRIBES traded and
fought with the Latin speaking Roman
Empire.
 Many words (some originally from Greek)
for common objects therefore entered
their vocabulary via Latin even before the
tribes reached Britain.
 Some examples are: anchor, butter,
camp, cheese, chest, cook, devil, dish,
fork, gem, inch, kettle, kitchen, linen,
mile, mill, noon, pillow, pin, pound,,
sack, street, wall, wine.
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Christianity
 6th and 7th century: Christian
missionaries introduced Latin
religious terms providing both
vocabulary (e.g. abbot, altar,
apostle, bishop, church, clerk,
disciple, mass, minister, monk,
nun, pope, priest, school) and the
basis for the writing system.
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MIDDLE ENGLISH
 between the 11th and 14th centuries:
transition to Middle English (ME)
(conventionally dated c.1100-1500)
 Historical facts : Norman conquest,
French dominance
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THE NORMAN CONQUEST
 1066 : The Norman Conquest
 The aristocracy spoke Anglo –
Norman (which became Gallicised
through contact with French).
 The Norman rulers made no attempt
to suppress the English language,
apart from not using it at all in their
court.
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FRENCH DOMINANCE
 French dominance and prestige in the royal
court, law, the church and education
encouraged extensive borrowing of
vocabulary
 e.g. French words for farmed animals
pork, beef and mutton (modern French
porc, bœuf and mouton) were adopted
The borrowed words came to signify only
the meat of these animals, eaten by
wealthier French speakers.
 the words inherited from OE (swine, cow
and sheep) came to refer only to the
living animals.
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MODERN ENGLISH
 (ModE) started with the introduction of
printing.
 15th century: Caxton’s selection of an
East Midlands/London variety of English for
the first printed books : development of
a standardised variety of the language,
with fixed spelling and punctuation
conventions and accepted vocabulary and
grammatical forms.
 attempts at codification, notably
Johnson’s dictionary (1755) and many
prescriptive grammars of the 18th
century.
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GRUPPO MONODISCIPLINARE
LINGUA FRANCESE
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La langue a son histoire
Le français est une langue romane, issue du latin, comme d’autres langues
européennes: l’italien, l’espagnol, le portugais, le roumain
 I- L'appartenance du français à l'indo-européen:
Des populations parlant un même type de langue ont
émigré par vagues successives entre 6500 et 5500 av.
J.-C. dans toute l'Europe et en Inde, d'où le nom de cette
famille de langues qualifiée par la suite d'indoeuropéenne.
Il a fallu attendre le XIXe siècle, et notamment la
découverte d'une très ancienne langue d'Inde, le
sanskrit, pour constater que des langues apparemment
aussi différentes que le latin, l'anglais, l'allemand, le
breton, le russe, le persan, ou le français, présentaient
de
nombreuses
ressemblances
et
remontaient
vraisemblablement à une même langue: l'indo-européen.
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De fortes ressemblances
Latin
Anglais
Allemand
Breton
Russe
Persan
Français
mater
mother
matter
mamm
mat
modar
mère
frater
brother
bruder
breur
brat
baradar
frère
pater
father
vater
tad
(atets)
pedar
père
soror
sister
schwester
c'hoar
siestra
khalar
sœur
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La Langue Française ,en grande partie,
issue du latin parlé

De même que le latin, le gaulois fait partie de la famille des
langues européennes. Lorsque les Romains ont conquis la
Gaule en 52 av. J.-C., le latin parlé des soldats et des
fonctionnaires romains s'est rapidement répandu; dès le IVème
siècle, la langue gauloise avait presque totalement disparu au
profit d'un latin déformé par l'accent gaulois, et imprégné
de mots germaniques correspondant aux diverses invasions.
Très largement issu du latin parlé, le français compte encore:
une centaine de mots gaulois comme: alouette, balai,
bouleau, bruyère, caillou, char, chemin, chêne, druide, dune,
glaise, lande, ruche, soc, tonneau...
près de mille mots germaniques comme: balafre, blafard,
blanc, bleu, brun, butin, danser, effrayer, galoper, garder,
gâteau, guère, guerre, guetter, hache, maréchal, orgueil,
riche, sale, tomber, trop...
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L’ancien français (IXe - XIIIe siècle),
encore proche du latin

Le premier texte en français dont nous ayons connaissance date de
842.
Il
s'agit
des
Serments
de
Strasbourg.
La France se divisait alors en deux zones linguistiques: on
distinguait, dans le Midi, les dialectes où oui se disait oc, appelés par la
suite dialectes de langues d'oc, et dans le Nord, les dialectes où oui
se disait oïl, définissant ainsi les langues d'oïl. Les dialectes d'oïl
furent prépondérants dans la mesure où Paris devint la capitale des
rois:
l'ancien
français
en
est
issu.
De grands textes littéraires ont été écrits en ancien français du XIe au
XIIIe siècle, textes écrits en vers et souvent chantés comme la
Chanson de Roland. Des six terminaisons du latin, ne sont restées en
ancien français que celles du sujet et du complément.
À la suite des invasions des Vikings en Normandie (Xe siècle) et de
la constitution de l'empire arabe (du VIIIe au XIVe siècle), la langue
française s'est enrichie en empruntant des mots qui lui manquaient.
— Quelques emprunts à la langue normande comme: agrès,
crique,
hauban,
— Quelques emprunts à la langue arabe comme: alambic, amiral,
chiffre.
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Petrucci, Polidoro
La renaissance du français (XVIe siècle)

Le français a continué à évoluer aux XIIIe et XIVe siècles, les
déclinaisons disparaissent peu à peu. Au XVIe siècle, l'ordre
des mots (sujet, verbe, complément) devint désormais
déterminant. L'enseignement s'effectuait toujours en latin,
mais les écrivains souhaitaient que le français devienne une
grande
langue
littéraire.
Au XVIe comme au XVe siècle, la langue française est marquée
par l'adaptation de beaucoup de mots latins (comme académie,
agriculture). S'y ajoutent la multiplication des suffixes
diminutifs (maigrelet), la construction de mots composés
(aigre-doux) et l'emprunt d'environ 2000 mots à l'italien
comme: artisan, brave, caporal, carnaval, charlatan, concert,
escalier, façade, infanterie, sonnet..
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Le français du XVIIème et du XVIIIème siècles: une
langue qui se fixe
 À la fin du XVIe siècle, la langue française perd de son
unité, et dès le début du XVIIe siècle, Malherbe , poète
de la cour, cherche à discipliner la langue littéraire en
faisant par exemple la chasse aux mots anciens, aux
mots inventés, familiers, provinciaux ou techniques.
En 1635, Richelieu fonde l’Academie française et, en
1664, paraît la première édition du Dictionnaire de
l’Academie qui devait fixer le sens des mots, un sens
souvent plus fort qu'aujourd'hui: un déplaisir est une
profonde douleur et un ennui, un chagrin violent.
Au XVIIIe siècle, la langue reste classique et s'affirme.
Quelques mots sont empruntés à l'anglais: meeting,
budget...
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ITALIEN
carnaval
ANGLAIS
parking
JAPONAIS
Kimono
ESPAGNOL
adjutant
FRANÇAIS
ARABE
algèbre
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PORTUGAIS
acajou
ALLEMAND
sabre
NEERLANDAIS
bière
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Le français actuel: une langue mutiple
Après la Rèvolution francaise au début du XIXe
siècle, la langue s'est enrichie de nouvelles
idées et donc de nouveaux mots; les écrivains
romantiques ont élargi leur vocabulaire avec
des mots issus des pays orientaux et ont utilisé
divers registres de langue.
Au XX siècle, et notamment à la finçaise du
siècle, les progrès de la technologie ont fait se
développer les vocabulaires techniques, parfois
repris dans la langue d'origine, souvent
l'anglais: bulldozer.
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 Le développement des médias, notamment
de la radio et de la télévision, ont mis en
contact les multiples variantes du français,
du verlan (ripou, rebeu, meuf, keuf) aux
vocabulaires issus des progrès techniques:
cédérom, internaute, zapper etc.
De nouvelles constructions de mots se
développent, comme les mots-valises:
informatique où se mélangent information
et automatique langue française”
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GRUPPO MONODISCIPLINARE
LINGUA TEDESCA
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Einflüsse anderer Sprachen auf die deutsche Sprache
Durch ihre zentrale Lage in Europa wurde die
deutsche Sprache über die Jahrhunderte
durch andere Sprachen beeinflusst.
Im Mittelalter und der Zeit davor war es vor
allem die lateinische Sprache, aus der sich
die deutsche Sprache bediente. So sind viele
alltägliche Wörter, vor allem aus Architektur,
Religion und Kriegswesen aus dem
Lateinischen entlehnt.
Auch die griechische Sprache hat das
Deutsche in Religion, Wissenschaft und
Philosophie stark beeinflusst.
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Einflüsse anderer Sprachen auf die deutsche Sprache
Später war es dann vor allem die
französische Sprache, die grossen
Einfluss auf das Deutsche ausübte. Da
nach dem Dreißigjährigen Krieg an
vielen Höfen französisch gesprochen
wurde, kamen vor allem Wörter aus dem
vornehmen Bereich in die deutsche
Sprache.
Auch aus den slawischen Sprachen
kamen einige Wörter ins Deutsche.
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Einflüsse anderer Sprachen auf die deutsche Sprache
In Handel ,Botanik , Medizin Mathematik ,
Chemie und Astronomie lassen sich auch
einige Einflüsse aus dem Arabischen
ausmachen, die verstärkt im Mittelalter
beispielsweise durch die Kreuzzüge nach
Europa und somit auch nach Deutschland
kamen.
Ab Mitte des 20. Jahrhunderts nahm
das Englische zunehmend Einfluss auf die
deutsche Sprache
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Perioden der deutschen Sprachgeschichte
 Althochdeutsch (etwa 750 bis 1100)
 Mittelhochdeutsch (etwa 1100 bis 1500)
mit dem Frühneuhochdeutschen (etwa
seit 1350-1650)
 Neuhochdeutsch (etwa seit 1650)
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Deutsche Sprachgeschichte
Althochdeutsch (Ahd.):
Früheste Phase des Hochdeutschen
Das Hochdeutsche trennte sich während des 7. und 8. Jh.
vom Niederdeutschen und den anderen
westgermanischen Sprachen.
Diese „Trennung“ bestand in einer konsonantischen
Veränderung, die man als hochdeutsche (oder zweite)
Lautverschiebung bezeichnet
Niederdeutsch (Norddeutschland) → Appel, Plaume, Pund
Hochdeutsch (Süddeutschland) → Apfel, Pflaume, Pfund
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Deutsche Sprachgeschichte
Das Mittelhochdeutsch ist durch den
Ausfall oder die Veränderung der Vokale
am Wortende gekennzeichnet
ahd. : markat → mhd: mark(e)t → Markt
ahd. : Kinni → mhd. : Kinne → Kinn
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Deutsche Sprachgeschichte
Das Frühneuhochdeutsch ist durch
die Umwandlung der langen Vokale in
Diphtonge und die Groß- und
Kleinschreibung gekennzeichnet
mīn → mein, hūs → Haus.
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Deutsche Sprachgeschichte
Um 1450 erfand Johannes Gutenberg
den Buchdruck und die geschriebene Sprache
wurde breiten Bevölkerungsschichten zugänglich.
In Konkurrenz zur süddeutsch geprägten
kaiserlichen Kanzleisprache, die von Maximilian I.
gefördert wurde, bemühte man sich zunehmend
um eine gemeinverständliche deutsche Sprache.
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Deutsche Sprachgeschichte
Eine besondere Rolle spielte die
Bibelübersetzung Martin Luthers für die
Entstehung des Neuhochdeutschen,
insbesondere dafür, dass das Ostmitteldeutsche
seine maßgebliche Autorität festigte und zur
Grundlage einheitlicher Sprachregelungen wurde.
Noch in einer zweiten Hinsicht war sein Wirken für die
deutsche Sprache bedeutsam:Im Zuge derReformation
gab er der protestantischen Kirche vor, dass die
Gottesdienste nicht mehr auf Lateinisch, sondern auf
Deutsch abgehalten werden sollten.
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Deutsche Sprachgeschichte
Seit 1650 hat sich am lautlichen Zustand der
deutschen Sprache nicht mehr viel verändert hat.
Dagegen ist der Wortschatz seit dem Zeitalter des
Barock enorm bereichert worden, vor allem durch
freie Übertragung französischer und lateinischer
Begriffe ins Deutsche, aber auch durch
erfinderische Neubildungen aus deutschen Wörtern.
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Deutsche Sprachgeschichte
Schon bald nach dem Ausgang des 30-jährigen
Krieges setzte sich eine Gegenbewegung ein, die
wieder gehäuft französisches Wortgut einführte .
Indirekt hatte der französische Einfluß jedoch eine
positive Nebenwirkung: Man bemühte sich im 18.
Jahrhundert, den Franzosen auch das
nachzumachen, dass sie eine einheitliche
Schriftsprache mit festen Schreibregeln besaßen.
So gewann im Deutschen das Schriftliche langsam
die Oberhand über die Mündlichkeit, Schriftdeutsch
wurde Standardsprache.
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Deutsche Sprachgeschichte
Nach der Auflösung des Heiligen Römischen Reiches
und Abtrennung Österreichs (1806), hat sich das
politische Gewicht innerhalb Deutschlands nach
Norden verlagert. Brandenburg-Preußen wurde zur
Vormacht im "kleindeutschen" Verband der Länder.
Dadurch verlor die von Luther weithin etablierte,
von Martin Opitz zum Standard erhobene
mitteldeutsche Kanzleisprache des sächsischen
Hofes ihre normierende Kraft.
Der Anspruch, das "reinste Hochdeutsch" zu
sprechen, ging auf die ehemals niederdeutschen
Gebiete über.
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GRUPPO MONODISCIPLINARE
LINGUA ITALIANA
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DALLE ORIGINI ALL’ANNO 1000
Fra il III e il V secolo d. C., sotto la pressione
delle invasioni barbariche, il latino parlato
(detto anche volgare, cioè popolare), venendo
in contatto con le lingue dei nuovi invasori,
inizia rapidamente a trasformarsi, assumendo
intonazioni e sfumature diverse da territorio a
territorio. Il latino scritto, invece molto più
stabile perché legato a modelli e a regole ben
precise, continuerà ancora per molto tempo a
essere la lingua delle persone di cultura. In
latino si continuano a scrivere i manuali dei
diversi insegnamenti universitari, le leggi e i
documenti ufficiali.
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IL DUECENTO
Tutti i livelli della lingua, attraverso passaggi graduali,
subiscono trasformazioni: la forma delle parole, il
significato, le strutture linguistiche. Per esempio c'è la
tendenza a lasciar cadere le consonanti finali della parola
latina (noctem-nocte-notte); cadono anche vocali e
consonanti all'interno della parola (mensem-mesemmese; oculus-oclus-occhio); si diffonde l'uso di vocaboli
diversi da quelli tradizionalmente usati nelle scritture
(busca-bocca, al posto di os, caballus, cavallo, al posto di
equus). Continuando nella sua evoluzione, il volgare si
arricchisce di nuovi termini e si differenzia sempre di più
dal latino fino a diventare una lingua distinta.
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 Non tutte le parole italiane derivano dal latino. Le
parole italiane non derivate dal latino provengono da
popoli che conquistarono l'Italia e la governarono,
cioè dai popoli di lingua germanica e dagli arabi, il
popolo culturalmente più avanzato dell'Alto Medioevo,
che nel IX secolo occupò vaste zone dell’Italia
meridionale.
Sulla nostra letteratura in volgare esercitarono una
certa influenza anche due lingue neolatine sorte in
Francia già nell'XI sec. quella d'oc o provenzale
(Francia meridionale), attraverso i poeti provenzali
stanziati in Italia, e, in misura minore, quella d'oil
(Francia settentrionale).
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I FATTI STORICI
- Continuano i contrasti tra Papato e
Impero.
- Nell’Italia centro-settentrionale si
affermano i Comuni e le repubbliche
marinare.
- Nell’Italia meridionale si consolida la
monarchia, prima con Federico II, poi
con gli Angioini.
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I FATTI ARTISTICI
E CULTURALI
- In architettura si assiste al passaggio
dallo stile romanico al gotico.
- In pittura spiccano le figure di
Cimabue e Giotto.
- Si sviluppano le università.
- Nascono gli ordini mendicanti dei
Francescani e dei Domenicani.
- Tommaso d’Aquino è il teologo del
papa.
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I FATTI LINGUISTICI
- Il volgare italiano diventa lingua
letteraria.
- Nasce la letteratura italiana.
- Continua la letteratura in lingua
latina.
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GLI AUTORI PRINCIPALI
-
Letteratura religiosa: S. Francesco d’Assisi e Jacopone da
Todi.
- Letteratura profana
- Poesia:
Cecco Angiolieri;
Scuola siciliana di Federico II: Cielo D’Alcamo, Jacopo da
Lentini, e Pier delle Vigne;
Dolce Stil Novo: Guido Guinizelli, Guido Cavalcanti, Dante
Alighieri.
- Prosa:
Romanzi e racconti cavallereschi;
Novelle: Il Novellino;
Marco Polo: Il Milione.
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IL TRECENTO
 Dal latino entrano nella lingua molti
termini che sostituiscono parole già in
uso, ad esempio orazione sostituisce
diceria. Nuove parole arrivano anche
dallo spagnolo (maiolica), dall’arabo
(tazza), dal tedesco (piffero). Si
impongono poi, in tutta Italia, forme
tipicamente fiorentine come: nuovo per
novo, piede per pede, amiamo, vediamo
per amamo, vedemo.
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I FATTI STORICI
- Una grave epidemia di peste colpisce
l’Europa.
- Papato e impero entrano in crisi.
- Nell’Italia settentrionale e in parte in
quella centrale, si passa dalla forma
del Comune a quella delle Signorie.
- Italia meridionale: il governo degli
Angioini si avvia alla decadenza.
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I FATTI ARTISTICI
E CULTURALI
 Pittura:
- Giotto da Bondone considerato il più
grande pittore italiano.
- Scuola senese: Simone Martini,
Duccio di Boninsegna, Pietro
Lorenzetti, Ambrogio Lorenzetti.
- Nuove scienze come la fisica e la
medicina ricevono un forte impulso.
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I FATTI LINGUISTICI
- Il volgare si sviluppa e trionfa grazie a
Dante, Petrarca e Boccaccio; su tutti i
dialetti italiani si impone quello di
Firenze.
- Continua copiosa la letteratura latina.
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GLI AUTORI PRINCIPALI
- I grandi della letteratura: Dante,
Petrarca e Boccaccio.
- Letteratura religiosa: anonimo toscano
autore dei Fioretti di San Francesco Santa Caterina da Siena (Lettere).
- Storiografia: Dino Compagni, Giovanni
Villani.
- Novellistica: Franco Sacchetti (Trecento
novelle).
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IL QUATTROCENTO E
IL CINQUECENTO
 Vengono introdotti dal latino moltissimi
termini: arbusto, pagina, marittimo, ecc. e
nuove parole arrivano da altre lingue.
Cominciano ad affermarsi fenomeni che poi
diventeranno stabili: l’uso dei pronomi lui e lei
come soggetti, la sostituzione sempre più
frequente della posizione proclitica (si dice di
parola priva di accento che per la pronuncia si
appoggia alla parola seguente) delle particelle
atone: Vi priego invece di priegovi.
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Petrucci, Polidoro
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Anche nel Cinquecento entrano nella lingua
termini latini ma meno numerosi che nel
Quattrocento. In questo secolo il lessico
risente fortemente dell’influenza della
Spagna, della Francia e del contatto con
civiltà non europee a seguito delle scoperte
geografiche. Molti termini, infatti, arrivano
dal francese (massacro, batteria, petardo),
moltissimi dallo spagnolo (sfarzo, flotta,
azienda) e dalle lingue americane (patata,
mais, cacao)
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I FATTI STORICI
- Nascono conflitti tra le maggiori città
italiane.
- Per l’Italia e l’Europa si apre un’epoca di
grande rinnovamento culturale: il
Rinascimento.
- Iniziano i grandi viaggi di esplorazione e
si scopre l’America (1492).
- L’Italia, debole e divisa, diventa preda
delle più potenti nazioni europee.
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I FATTI ARTISTICI
E CULTURALI
- Pittura: Leonardo, Raffaello e Tiziano
diventano un modello per tutta l’Europa.
- Michelangelo Buonarroti è insieme
pittore, scultore e architetto.
- Grandi architetti come Brunelleschi,
Bramante rinnovano il volto delle città.
- L’invenzione della stampa a caratteri
mobili a opera di Gutemberg
rappresenta una vera e propria
rivoluzione culturale.
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I FATTI LINGUISTICI
- Permane l’uso del latino per la
composizione di opere dotte e
scientifiche.
- Nasce la questione della lingua.
- Compaiono numerose grammatiche e
i primi vocabolari.
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GLI AUTORI PRINCIPALI
- Letteratura del Quattrocento:
Poliziano (Le stanze per la giostra);
Lorenzo de’ Medici (I canti
carnascialeschi); Boiardo (Orlando
innamorato).
- Letteratura del Cinquecento: Ludovico
Ariosto (Orlando Furioso); Torquato
Tasso (Gerusalemme liberata);
Niccolò Macchiavelli (Il Principe).
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IL SEICENTO
 Fenomeni tipici del Seicento sono la creazione
di nuove parole per mezzo di suffissi e prefissi
di origine greca o latina (onnivoro,
semipubblico) e la comparsa dei composti
formati da due aggettivi, il primo dei quali
rimane invariabile. Entrano nella lingua molti
termini derivati dal latino (sintassi, scheletro,
cellula, società, iniezione), dallo spagnolo,
soprattutto nella prima metà del secolo
(pastiglia, recluta, lazzarone, nostromo,
cioccolato) e dal francese (moda, parrucca,
dettaglio, tazza, reggimento).
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I FATTI STORICI
 L’Italia attraversa un periodo di progressiva
decadenza sociale, politica ed economica.
 Politicamente è soggetta all’egemonia spagnola
che fa sentire la sua influenza sull’intera
penisola.
 Un’epidemia di peste colpisce l’Italia
settentrionale e meridionale e la guerra dei
Trent’anni infuria in Lombardia.
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I FATTI ARTISTICI
E CULTURALI
 Sul piano culturale si sviluppa il barocco che
impone l’interesse per la ricerca di forme
stravaganti e per il gusto della magnificenza.
 In architettura, il gusto barocco si manifesta
con la monumentalità delle costruzioni.
 Grazie a Galileo Galilei si hanno la creazione
del metodo sperimentale e la nascita della
scienza moderna.
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I FATTI LINGUISTICI
 In poesia il gusto barocco è definito
Marinismo.
 Entrano nella lingua molti spagnolismi
e francesismi.
 Nasce il primo organico vocabolario
della lingua italiano, quello
dell’Accademia della Crusca.
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GLI AUTORI PRINCIPALI
 Poesia barocca:
 Gian Battista Marino
Adone
 Prosa scientifica
 Galileo Galilei
Il Saggiatore
Il Dialogo sopra i due massimi sistemi del mondo.
 Altri autori importanti:
 Tassoni
La secchia rapita
 Gian Battista Basile
Lo cunto de li cunti
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IL SETTECENTO
 Nel rinnovamento della lingua, sviluppatosi
straordinariamente nel Settecento, risulta prevalente
l’influenza del francese. L’elenco dei prestiti da questa
lingua è lunghissimo e abbraccia diversi settori del vivere
quotidiano, della moda, della cucina e della vita
commerciale: ghette, cerniera, flacone, coccarda,
cotoletta, alcune per la prima volta non italianizzate:
toilette, bleu, dessert.
La presenza del francese in Italia è testimoniata dal fatto
che molti termini di quella lingua vengono accolti anche
nei vari dialetti, entrano cioè nell’uso del parlato di intere
popolazioni e non solo di una parte privilegiata della
società.
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
61
I FATTI STORICI
- In Europa si verifica una profonda
trasformazione della società e
dell’economia.
- In Inghilterra nasce la Rivoluzione
industriale.
- In Francia, nel 1789 scoppia la
Rivoluzione francese.
- In Italia al dominio spagnolo si
sostituisce quello austriaco.
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Petrucci, Polidoro
62
I FATTI ARTISTICI
E CULTURALI
- Nasce un movimento culturale-filosofico
detto Illuminismo.
- In pittura i veneziani Tiepolo, Canaletto
e Guardi, creano quadri di alto valore.
- Gli architetti Jovara e Vanvitelli
costituiscono eleganti e sontuosi palazzi.
- In ambito musicale Vivaldi, Pergolesi,
Cherubini, Cimarosa e Paisiello rendono
popolare il melodramma.
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
63
I FATTI LINGUISTICI
- Entrano nella lingua italiana parole e
costrutti di imitazione francese.
- Nasce l’Accademia dell’Arcadia.
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Petrucci, Polidoro
64
GLI AUTORI PRINCIPALI
- Melodramma: Pietro Metastasio.
- Opere filosofiche e politiche:
Giambattista Vico e Ludovico
Muratori.
- Poesia: Giuseppe Parini (Il Giorno).
- Tragedia: Vittorio Alfieri (Antigone,
Saul, Oreste).
- Teatro: Carlo Goldoni (Commedie)
Del Regno, Lavagno, Mussini,
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65
L’OTTOCENTO (PRIMA META’)
Nell'Ottocento si sente l'esigenza di una lingua comune a
tutta l'Italia e aperta a nuove soluzioni; per esempio si
preferisce la forma sciolta al posto del legame enclitico
(si cercava al posto di cercavasi) o l'accoppiamento di
due sostantivi senza preposizione (scalo merci invece di
scalo delle merci).
I nuovi termini che entrano a far parte della lingua in
questo secolo provengono dal latino (sciopero, bacillo,
analfabeta, acquario, anestesia), dal francese (pattinare,
decollare, furgone, griglia, bullone) e sempre più spesso
si aggiungono in forma non italianizzata termini sia
francesi (menu, réclame, boxe), sia inglesi (leader, goal,
film).
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
66
I FATTI STORICI
- Le trasformazioni prodotte dalle
grandi rivoluzioni cambiano l’assetto
economico, politico e sociale
dell’Europa.
- Il Congresso di Vienna con la
Restaurazione ricostruisce il potere
dei vecchi regimi.
- In Italia si rafforza la coscienza
nazionale e inizia la prima fase del
Risorgimento.
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
67
I FATTI ARTISTICI
E CULTURALI
- Nascono due movimenti culturali:
Neoclassicismo e Romanticismo.
- Nella pittura si impone Hayez con la
sua opera più celebre: Il bacio.
- Musica: Giuseppe Verdi è grande
autore di melodrammi; altri musicisti
rilevanti sono Gioacchino Rossini,
Gaetano Donizetti, Vincenzo Bellini.
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I FATTI LINGUISTICI
- Classicisti e romantici disputano sulla
lingua da adottare.
- Manzoni propone come modello
linguistico il fiorentino parlato.
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GLI AUTORI PRINCIPALI
- Neoclassicismo: Vincenzo Monti
- Romanticismo: Ugo Foscolo, Giacomo
Leopardi, Alessandro Manzoni (I
Promessi sposi).
- Scrittori minori: Silvio Pellico (Le mie
prigioni), Massimo D’Azeglio (I miei
ricordi), Luigi Settembrini (Ricordanze
della mia vita), Ippolito Nievo (Le
confessioni di un italiano).
- Poesia dialettale: Carlo Porta, Giuseppe
Del Regno, Lavagno, Mussini,
70
Gioacchino Belli.
Petrucci, Polidoro
L’OTTOCENTO
(SECONDA META’)
Nella seconda metà dell'Ottocento, grazie all'intensificarsi
dei rapporti tra l’italiano i dialetti e le lingue straniere, il
lessico si arricchisce di termini nuovi. Molti di questi
riguardano i campi della scienza e della tecnica allora in
pieno sviluppo, come ad esempio: evoluzione,
psicanalisi, microbo, accumulatore, cinematografo.
Dai dialetti entrano nell’italiano bocciare, ramazza dal
piemontese; risotto e panettone dal lombardo;
mozzarella e camorra dal napoletano; mafia dal siciliano.
Tra le lingue straniere è ancora forte l'influenza dei
prestiti dal francese, nella forma non italianizzata:
coupon, élite, pied-a-terre.
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
71
Dall'inglese entrano nell'uso della nostra lingua
termini come: comfort, humour, film, flirt,
snob.
Un'importante novità nella lingua italiana
riguarda la modifica della sintassi; a questo
proposito la stampa, e in particolare i
quotidiani, svolgono un ruolo fondamentale. Lo
stile agile e telegrafico dei giornali diventa,
infatti, un modello di semplificazione del
periodo; la struttura classica della frase, fino
ad allora eccessivamente ricercata, viene
sostituita con una più agile e moderna.
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I FATTI STORICI
- La crisi negli ideali risorgimentali fa
nascere l’esigenza di una nuova
politica realistica.
- Il compito di condurre l’Italia
all’unificazione viene affidato a
Cavour.
- I Savoia, sostenuti dai moderati,
frenano le tendenze democratiche più
radicali.
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I FATTI ARTISTICI
E CULTURALI
- In campo scientifico Darwin elabora la
teoria evoluzionistica.
- Nasce il movimento del Realismo, che
investe vari settori della cultura:
filosofia (Positivismo); letteratura
francese (Naturalismo); letteratura
italiana (Verismo).
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I FATTI LINGUISTICI
- L’italiano si arricchisce di termini
nuovi.
- Tra le lingue straniere è ancora forte
l’influenza del francese.
- Lo stile agile e telegrafico dei
quotidiani diventa un modello di
semplificazione della sintassi.
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75
GLI AUTORI PRINCIPALI
- Realismo: Giosuè Carducci
- Verismo: Giovanni Verga, Luigi
Capuana, Federico De Roberto,
Matilde Serao, Grazia Deledda,
Renato Fucini, Carlo Collodi, Edmondo
De Amicis.
- Letteratura dialettale: Salvatore Di
Giacomo, Cesare Pascarella.
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76
IL NOVECENTO
Entrano a far parte della lingua molti termini legati al
progresso scientifico e tecnico, spesso creati grazie a
prefissoidi e suffissoidi: radiologia, astronauta,
teleobiettivo.
Altre parole vengono dal mondo anglosassone nella
forma originale: weekend, nylon. La lingua inglese ormai
sta prendendo il sopravvento sul francese a cui si deve
ancora qualche voce come: wagon-lit, moquette,
dépliant.
Le altre lingue sono molto meno presenti; dalla
Germania provengono il termine antiquariato e altre
parole composte come: tardo-gotico, tardo-romano.
Del Regno, Lavagno, Mussini,
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77
Si assestano molti fenomeni della lingua; è il caso dei
plurali femminili in -cia e -gia, che fanno -cie e -gie se
preceduti da vocale e -ce e -ge se preceduti da
consonante (ciliegie/valigie e rocce/logge). Si fissano
anche certi accenti: si dice rubrica e non rúbrica,
mentre qualche incertezza persiste per salùbre che
spesso viene pronunciato salubre. La prima persona
dell'imperfetto in -a («io andava») cade
definitivamente ed è sostituita con la forma in -o («io
andavo»). Nel periodo fascista viene creata con
successo una terminologia italiana per il gioco del
calcio: calcio di rigore, rete, fuorigioco, terzino.
Del Regno, Lavagno, Mussini,
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78
I FATTI STORICI
-
I primi anni del Novecento sono caratterizzati da
profonde trasformazioni economiche, sociali e politiche.
Tra il 1914 e il 1918 in Europa si combatte la Prima
guerra mondiale.
In Russia la rivoluzione pone fine al potere degli zar e
porta alla nascita del primo stato socialista.
La crisi del dopoguerra favorisce la nascita del fascismo
(Italia) e del nazismo (Germania).
Dal 1939 al 1945 si combatte la Seconda guerra
mondiale.
Il 2 giugno 1946 l’Italia diventa una repubblica.
Ha inizio la guerra fredda tra Unione Sovietica e Stati
Uniti. Negli anni successivi alla guerra, l’Italia
settentrionale è investita dal boom economico.
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
79
I FATTI ARTISTICI
E CULTURALI
-
-
-
-
In Europa si afferma la corrente artistico-letteraria del
Decadentismo.
Altre correnti letterarie si sviluppano in Italia nella prima
metà del Novecento (Crepuscolarismo, Ermetismo,
Futurismo).
Il filosofo tedesco Friedrich Nietzsche elabora il mito del
superuomo e il medico austriaco Sigmund Freud la teoria
relativa all’inconscio.
Nell’arte domina lo stile Liberty, uno stile decorativo, che
trova espressione in un’ampia gamma di forme
artistiche.
Nel secondo dopoguerra si sviluppa in Italia il movimento
artistico e letterario del Neorealismo
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
80
I FATTI LINGUISTICI
-
-
La lingua italiana della prima metà del
Novecento si amplia notevolmente.
Nel primo decennio del secolo più della metà
della popolazione nelle occasioni formali e
ufficiali si esprime nella lingua italiana.
Nel dopoguerra l’Italiano si arricchisce di molti
termini, introdotti dal cinema, dalle riviste e
dall’inglese. La lingua diventa più disinvolta e
lo scritto tende ad avvicinarsi al parlato.
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
81
GLI AUTORI PRINCIPALI
- Decadentismo: poesia (Pascoli,
D’Annunzio); narrativa (Pirandello,
Svevo).
- Crepuscolarismo (Gozzano, Corazzini).
- Futurismo (Marinetti, Palazzeschi,
Soffici, Folgore).
- Poeti nuovi (Saba, Cardarelli)
- Neorealismo (Moravia, Vittorini,
Pratolini, Levi, Calvino, Fenoglio,
Pavese).
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Petrucci, Polidoro
82
GRUPPO MONODISCIPLINARE
LINGUA LATINA
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
83
Origini della lingua latina
 Il latino è lingua “sorella” del greco. Queste
lingue sono tra loro imparentate e si
ricollegano inoltre a sanscrito, iranico,
armeno, slavo, baltico, germanico, italico o
osco-umbro, celtico oltre al tocario e
all’ittita.
 La lingua latina presenta poi, in
particolare, peculiarità morfologiche e
lessicali in comune con l’italico e il celtico
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
84
Origini e area di diffusione del
latino

Il “protolatino” ebbe una diffusione geografica abbastanza
ampia, penetrando dal Nord e arrivando a toccare infine il Lazio
e forse anche la Sicilia ( su tutta la questione dell’avvento dei
protolatini cfr. L.R. Palmer, “La lingua latina”, Torino, Einaudi,
1977, cap. II, “I protolatini in Italia”, pp. 42-72) ; però,
storicamente, il latino è la lingua di Roma: i romani trassero il
loro alfabeto dai greci, sembra da Cuma, con probabili
mediazioni etrusche, adattandolo alle proprie esigenze;
eliminando, per esempio, alcune lettere greche ritenute
inessenziali, come per esempio θ, ζ, φ e inserendone altre non
presenti nel greco (f,u). Nella sua storia millenaria la lingua
latina subì comunque notevoli influssi dal greco, sia per ragioni
strettamente pratiche legate agli scambi commerciali sia per
ragioni culturali ampiamente note.

In epoca storica il latino confinava a est e a sud con l’osco, a
nord con l’etrusco, di cui subì un moderato influsso soprattutto
in seguito alla dominazione etrusca su Roma (monarchia dei
Tarquini)
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
85
Le fasi del latino

Si contano nella storia del latino varie fasi, che comprendono:

la fase più antica
 latino pre-letterario sino al principio del III sec. a. C., restano
scarse iscrizioni e frammenti indiretti, è ricostruibile con il
metodo storico-comparativo
 latino arcaico da Livio Andronico (240 a.C. sua prima
rappresentazione) all’inizio del I sec. a C. (morte di Silla 78
a.C.)
 la fase più matura
 latino classico (I sec. a. C.): età di Cesare e di Cicerone
 latino augusteo (14 d. C. morte di Augusto): poeti augustei e
Livio

il latino post-classico o imperiale (i primi due secoli dlel’impero,
180 d. C. morte di Marco Aurelio): in cui progressivamente
divergono lingua letteraria e lingua parlata
 Il latino cristiano, latino imperiale attestato negli autori cristiani a
partire dalla fine del II sec. d. C., ricco di grecismi, semitismi,
volgarismi
 Il tardo-latino o basso latino, in parte parallelo al latino cristiano,
ultimi secoli dell’impero (524 d. C. morte di Boezio)
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Petrucci, Polidoro
86
Gli strati del latino


Anche in epoca classica il latino conobbe due varietà di registri, che
rapidamente si possono identificare in una lingua d’uso, quotidiana,
meglio nota come “latino volgare”( “lingua d’uso” e non “rozza”) e una
lingua letteraria, o, meglio, dei “generi letterari” coltivati dagli scrittori
romani. La differenza tra lingua colta e popolare era sostanzialmente di
“tono” o di stile, particolarmente visibile nel lessico, per cui, per
esempio, la “spada” diventava “gladius” a livello di lingua d’uso,
mentre era “ensis” nella lingua poetica: la stessa differenza tonale che
passa tra “spada” e “brando” in italiano.
L’espansionismo romano comportò, per così dire, una sorta di
“esportazione” della lingua d’uso parlata normalmente sia dai legionari
sia dall’enorme apparato burocratico che seguiva le conquiste, per cui i
popoli romanizzati ebbero inevitabilmente a che fare soprattutto con
soldati, funzionari e mercanti. Iniziava pertanto a diffondersi
nell’impero la “rustica romana lingua”, ovvero quella lingua che i vinti
avevano dovuto imparare dal contatto con la romanità, e che a poco a
poco, con il riflusso della potenza romana, si “specializzò” nelle varie
regioni geografiche sino a dar vita alle lingue neolatine ( italiano,
spagnolo, francese, rumeno, portoghese, ecc.).
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
87
Il latino parlato di età imperiale I
 Nel latino parlato di età imperiale numerosissime sono
le formazioni di nuove parole, che per la loro
coloritura e concretezza presto trionferanno sulle
logore forme tradizionali:
 Formazione di sostantivi in –arius
 Vezzeggiativi esistenti perdono valore diminutivo:
porcellus, vitellus, anellus, auricula
 Frequenti gli astratti derivati da participi: defensa –
collecta
 Preposizioni e avverbi (soprattutto a significato
locale) vengono rinforzati con altre preposizioni:
abante – incontra – de unde (da cui donde, dove)
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
88
Il latino parlato di età imperiale II
 Molte parole di età classica scompaiono per
il verificarsi di fenomeni di varia matrice:
 Ossum trionfa sopra os, ossis per evitare
omonimia: infatti, mentre in età classica ŏs
(osso) non si sarebbe confuso con ōs (bocca),
nei secoli successivi con la scomparsa delle
distinzioni di quantità il termine ŏs venne
sostituito da ossum e ōs da bucca che
significava “gota”.
 Analogamente habena (redine) scompare
(sostituito da *retina) poiché potrebbe
confondersi con avena. Dato che h iniziale
sparisce nella pronuncia, mentre b intervocalica
si spirantizza
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
89
Il latino parlato di età imperiale III
 A volte una voce si afferma su un’altra per
mutamento delle nozioni su un oggetto:il fatto che
encaustum prevalga su atramentum si riconduce al
fatto che l’inchiostro fatto di nerofumo o nero di
seppia viene soppiantato in questo periodo da quello
di galla preparato al fuoco (caustum appunto)
 Caballus “grosso cavallo castrato da lavoro” parola
proveniente dalla penisola balcanica e considerata a
lungo come umile, prevale poi come forma plebea, su
equus
 Vi è poi un progresso delle voci diminutive e
onomatopeiche (tata - pappa - babbus - nonnus mammare), più espressive, una voce come uber
(mammella) scompare quasi ovunque, sostituita da
mamma, mamilla, puppa)
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
90
Geografia areale e caratteri delle
innovazioni italiane
 La concorrenza tra sinonimi era legata poi alle correnti di
traffico materiale e culturale che nell’Impero si
svolgevano: così si spiegherebbe la sopravvivenza di un
livello colto del latino in lingue neolatine sviluppatesi alla
periferia dell’Impero.
 Come esempio valga l’aggettivo che significa “bello”.
In portoghese formoso, nell’antico spagnolo fermoso
oggi hermoso, in rumeno frumos, mentre il francese
ha beau e l’italiano bello. Lusitania (Portogallo) e
Dacia (Romania) quando furono colonizzate dai
Romani ebbero come aggettivo per “bello”, formosus,
poi in Italia prevalse bellus (II – III sec. d.C.), che
esisteva in età classica nel senso di “carino”. I
rapporti con la Gallia allora erano strettissimi,
pertanto bellus passò in quella zona, mentre Iberia,
Lusitania e Dacia non accettarono la innovazione, così
spieghiamo le due fasce conservative ai margini della
zona centrale innovativa (M. Bartoli: teoria detta di
linguistica spaziale)¹
Fra il latino e l’italiano
 Dopo il 476 l’impero romano scompare come entità
politica percepibile. Le invasioni barbariche determinano
interessanti fenomeni di contatto tra popoli invasori e
dominati latini, con reciproca modificazione dei costumi e
della lingua, cosicchè dal latino passarono in quest’epoca
all’italiano molte parole, di cui diamo un elenco
sommario diviso per popolazione:
 GOTI: arredare, corredare, guercio, fiasco, greto,
forra
 LONGOBARDI: spalto, strale, banca, panca, scranna,
stucco, magone, grinfia, sberleffo, spanna, taccola,
zecca, biacca, sgherro, manigoldo, smacco, ricco...
 FRANCHI: feudo, barone, ligio, guiderdone, guarire,
trescare, ardire, schifare, orgoglio, rigoglio, senno,
tregua
 BIZANTINI: androne, lastrico, mastello, argano,
sartie, squero, sartia, turcasso, metro, anguria,
indivia, basilico,
Delganascia
Regno, Lavagno, Mussini,
92
Petrucci, Polidoro
Il latino dopo Roma

Il latino della letteratura fu salvaguardato dalla Chiesa, che da
un lato salvò letteralmente, specie nei monasteri, una parte del
patrimonio letterario antico, e dall’altro “piegò” la lingua latina
ai propri fini liturgici e sacrali, facendone una vera e propria
“lingua speciale”, secondo R.L. Palmer. In effetti il latino
cristiano fu a livello lessicale una lingua estremamente
specializzata, con fortissimi influssi dal greco, che diventò una
sorta di serbatoio dal quale la chiesa trasse tutta la propria
nomenclatura sacra, a cominciare dal suo stesso nome,
“Chiesa”, che aveva le proprie radici nella “ecclesìa” greca, sia
pure attraverso lo spostamento dell’accento, “ecclèsia”. I
prestiti greci nel latino della chiesa sono dunque numerosissimi
( si pensi al termine “pasqua”, dal greco “Paska”). Questo
fenomeno si spiega facilmente allorché si pensa che i
protagonisti dello sviluppo del cristianesimo parlavano greco, e
che i testi evangelici, prima della traduzione di Girolamo, erano
scritti in quel greco comune che era tipico dell’area
mediterranea
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
93
Il latino medievale o mediolatino I


La Chiesa come è noto fu la depositaria principale della cultura
nel medioevo, dunque la lingua dei colti fu il latino medievale o
mediolatino. Nei secoli VII e VIII, pur modificato, fu l’unica
lingua colta usata in tutta Europa, che successivamente venne
in qualche modo ripristinata secondo parametri classici grazie
soprattutto alla “Rinascita carolingia”, in cui gli ingegni migliori
diedero un forte impulso al rinnovo culturale.
Indubbia è l’importanza della svolta voluta da Carlo Magno, che
chiamò dall’Italia e da altre nazioni uomini con l’intento di
ristabilire le regole; fra questi v’era Paolo Diacono, che a
volte è influenzato dalla lingua parlata, scrivendo per esempio
erabamus (“eravamo”) al posto di eramus; però sia lui che gli
altri che lo seguirono in Francia, da Pietro da Pisa a Paolino
d’Aquileia, erano in grado di produrre testi latini secondo
canoni vicini alla lingua classica.
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
94
Il latino medievale o mediolatino II
 All’avvicinarsi dell’anno Mille, mentre la
lingua latina scritta proseguiva la sua
strada fatta di un sostanziale recupero delle
forme regolari e di un rinnovato interesse
per gli scrittori antichi (Virgilio, poi Ovidio,
Cicerone, ecc.), grazie soprattutto allo
sviluppo delle università, il latino cosiddetto
“volgare”, parlato, andava ormai mutandosi
nelle varie parlate nazionali, come
testimoniano i “Giuramenti di Strasburgo” o
i “Placiti capuani” del 960 per quanto
riguarda l’Italia: nascevano quindi in
Europa le varie lingue neolatine.
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
95
Il latino dell’Umanesimo

Il latino conobbe una nuova e felice stagione in età
umanistico-rinascimentale, con un ritorno alla classicità, più
ideale che sostanziale. Raffaele Spongano in un saggio
(1946), premesso a “I primi tre libri della famiglia” di Leon
Battista Alberti, osserva come i nostri umanisti erano
profondamente convinti di aver ridato vita al latino classico,
ma “…la struttura dei periodi è prevalentemente piana, la
natura dei nessi sintattici prevalentemente coordinativa,
certe formule stilistiche, proprie del latino antico vanno in
disuso. Il latino medievale è morto, ma quello che sorge al
suo posto non è nemmeno – se non fallacemente – il
classico; è un nuovo latino, in cui la complessità antica cede
il posto alla scioltezza moderna… Di Roma usavano i
vocaboli e la morfologia, ma non il modo di atteggiare il
pensiero…” (Cfr. “L.B. Alberti, “I primi tre libri della
famiglia”, a cura di R. Spongano, Firenze, Sansoni, 1946,
p.VII).
Del Regno, Lavagno, Mussini,
Petrucci, Polidoro
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CONDIVISIONE
 Gli insegnanti si ritrovano in plenaria e
mostrano le presentazioni ai colleghi
 Il formatore guida la successiva discussione
con queste domande stimolo:
1. Ritenete che questi approfondimenti culturali
possano essere interessanti per gli alunni? Se
sì, in quale fase del modulo ponte collochereste
questo intervento?
2. Con quale modalità affrontereste questi
argomenti in classe? Solo con la presentazione
ppt? Oppure con attività più coinvolgenti e
semplici? Quali?
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Petrucci, Polidoro
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